Sarah Cassella (Université du Maine - Law) &
Lucie Delabie (Université de Picardie Jules Verne - Law) have published
Faut-il prendre le droit international au sérieux ? (Pedone 2016). Contents include:
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Photini Pazartzis, La succession d’États comme moyen de régulation
des relations internationales
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Hélène De Pooter, Place et rôle de la France à l’UNESCO :
quelques observations à la suite du rapport Janicot
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Abdulqawi A. Yusuf, L’État, le coup d’État et l’Union africaine
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Franck Latty, Ploutocratie et personnalité juridique internationale
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La revanche de l’État dans l’arbitrage transnational
Tullio TREVES
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Aurélie Tardieu, Face à une théorie féministe du droit international, une objection au féminin
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Jean Combacau, L’objection à la formation et à l’opposabilité des règles internationales –
le volontarisme a-t-il encore un intérêt ?
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Géraldine Giraudeau, Saint-Pierre-et-Miquelon : de la guerre de la morue à la bataille de l’or noir
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Karel Wellens, Le gendarme se marie. Un conte d’amour, de jalousie et de tromperie
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Athina Chanaki, Quis custodiet ipsos custodes ? La responsabilité des organisations
internationales pour les violations des droits de l’homme
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Fabien Lafouasse, « Le silence est d’or » : Réflexions juridiques sur l’espionnage entre États
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Lucie Delabie, Gentlemen’s agreements et autres arrangements informels :
la politique au secours du droit international ?
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Saïda El Boudouhi, L’enseignement du droit international à l’université : quel intérêt ?
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Sabrina Robert-Cuendet, Le bestiaire du droit international (ou la fable de l’animal voulant trouver
sa place parmi les hommes et les États)
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Vera El Khoury Lacoeuilhe, Témoignage : les droits de l’homme très confidentiels à l’UNESCO
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Evelyne Lagrange, Le bon genre. Les organisations internationales côté femmes
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Massimo Iovane, Quelle efficacité du jus cogens dans la protection des droits de l’homme ?
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Sarah Cassella, Ambiguïtés de la faveur dans la construction d’un « système » normatif :
les clauses de la protection la plus favorable
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Geneviève Bastid Burdeau, Conclusions
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Pierre Michel Eisemann, Encore Quelques Mots…
